Jorge Nuno Pinto da Costa - Presidente dos Presidentes (1937 - 2025)

Hermetic

Bancada central
22 Maio 2011
1,744
513
41
Peso da Régua, 1984
Ontem fui beber café com um amigo meu, que me perguntou se tinha visto a entrevista do pdc, quando lhe disse que aquilo era uma vergonha e que ele anda a gozar connosco, ficou a olhar para mim como se lhe tivesse insultado a mãe.

Falamos sobre a entrevista e ele no fim concordou comigo e estava pasmado com a situação.

Este meu amigo representa 98% da massa adepta e votante.
 

Komodo

Tribuna Presidencial
12 Dezembro 2012
8,245
2,025
Conquistas
3
38
Vila do Conde
  • Alfredo Quintana
  • Fernando "Bibota" Gomes
  • Pinto da Costa
Hermetic disse:
Ontem fui beber café com um amigo meu, que me perguntou se tinha visto a entrevista do pdc, quando lhe disse que aquilo era uma vergonha e que ele anda a gozar connosco, ficou a olhar para mim como se lhe tivesse insultado a mãe.

Falamos sobre a entrevista e ele no fim concordou comigo e estava pasmado com a situação.

Este meu amigo representa 98% da massa adepta e votante.
O pessoal que não liga muito a internet e que não se interessa muito por trocar opiniões ainda vive com a areia dos 30 anos de títulos no olhos... Enquanto isso o clube vai sendo espoliado.
 

DeepBlue

Tribuna Presidencial
27 Maio 2015
14,914
41,556
Conquistas
16
  • Novembro/16
  • Março/17
  • Julho/17
  • Maio/18
Faz-me lembrar os tempos da Idade Média em que a nobreza tentava manter o povo analfabeto sem acesso à escrita. A ignorância era uma bênção divina.

Hoje em dia só não abre os olhos quem não quer. Informação é poder!
 

dragao famalicao

Bancada central
2 Fevereiro 2015
1,798
0
Teófilo Cubillas disse:
Isto vai "matar" o Alexandre. Não há como o evitar. Ele e o pai vão arder em lume brando.

Falta saber quem se chega à frente.
O parasita quando isso acontecer

https://media.tenor.co/images/0c123db63e36c7a275df31013780e1b0/tenor.gif
 

Kelvin87

Tribuna Presidencial
7 Maio 2007
22,353
870
Se nas próximas eleições, aparecer um candidato com uma equipa de gente válida, não tenho a mínima dúvida que o clã Pinto da Costa "vai de vela".

Para que isso seja possível, basta que dez a quinze mil sócios descontentes, votem.
Há possíveis candidatos, em quem há um ano atrás, eu não votaria neles, mas no presente momento, desde que apareça um candidato minimamente credível, eu não hesito em votar nele.

O que Pinto da Costa tem dito ultimamente, mais parece alguém que sente o tapete a fugir-lhe dos pés e entrou em desespero.
 

miguel

Tribuna Presidencial
1 Agosto 2006
34,147
16,137
As próximas eleições têm que ser históricas. No entanto o presidente tem razão quando diz que ninguém aparece.

Eu acredito num Antero + AVB, ou então Oliveira.

São feelings...
 

slowboy

Tribuna Presidencial
18 Julho 2006
14,505
3,913
Conquistas
1
  • José Maria Pedroto
Roma disse:
Ficou caro o emprego do Pai do Rui Pedro .....
É que nem foi ele que arranjou. Foi o pai e o amorim. Apenas disse para arranjarem emprego ao pai do miudo.

100mil balas. Vive-se bem.
 

Costinha

Bancada central
29 Agosto 2016
1,426
176
Bruno 99 disse:
Se nas próximas eleições, aparecer um candidato com uma equipa de gente válida, não tenho a mínima dúvida que o clã Pinto da Costa "vai de vela".

Para que isso seja possível, basta que dez a quinze mil sócios descontentes, votem.
Há possíveis candidatos, em quem há um ano atrás, eu não votaria neles, mas no presente momento, desde que apareça um candidato minimamente credível, eu não hesito em votar nele.

O que Pinto da Costa tem dito ultimamente, mais parece alguém que sente o tapete a fugir-lhe dos pés e entrou em desespero.
"Se eu tivesse tempo e possibilidade" criava um dossier com estas notícias e outras que tais - assim como estórias que só alguns sabem - para dar a um futuro candidato em altura de eleições... Uma pena eu não ter tempo.
 

Pietrus

Bancada central
9 Março 2012
1,823
221
Hoje no Mediapart: As facturas falsas do Alexandrinho

https://www.mediapart.fr/journal/international/151216/les-pires-coups-tordus-des-agents-de-joueurs

La vie d’agent de joueurs est parfois très simple. Prenez le cas du Portugais Alexandre Pinto da Costa. Alexandre est le fils de Jorge Pinto da Costa, l’inamovible président du FC Porto depuis trente-quatre ans. Tout naturellement, l’agent Alexandre fait des affaires avec le club de son papa. Et tant pis si les mauvais coucheurs crient au conflit d’intérêts. Alexandre assure n’avoir aucune influence sur le club, et revendique crânement son statut. « Je suis très heureux et honoré d’être le fils du plus grand président de club que le monde ait jamais connu », a-t-il déclaré.

Sauf que les affaires de l’agent Alexandre avec Porto sont à la fois très rentables pour le fils du président et truffées d’irrégularités. Commissions cachées, conflits d’intérêts, fausses factures : les documents Football Leaks permettent de disséquer de façon inédite les dessous de ce business incestueux.


Il y a d’abord les chiffres. Entre 2012 et 2015, Porto a versé au moins 1,5 million d’euros de commissions au fils de son président, soit 60 % du chiffre d’affaires cumulé de sa société Energy Soccer. À titre d’exemple, Energy a touché 123 000 euros sur la vente du Ghanéen Christian Atsu au club de Chelsea en 2013.

Contrairement à ce qu’il clame, Alexandre Pinto da Costa n’assume pas vraiment cette proximité, au point de se cacher derrière des prête-noms. Il a créé Energy Soccer en juillet 2012. Deux mois plus tard, la société touche 25 000 euros sur le transfert du joueur Álvaro Pereira de Porto à l’Inter de Milan. Curieusement, le club a préféré payer la commission à une agence nommée IG, qui a redistribué une partie de l’argent à Energy Soccer.

Même scénario l’année suivante lorsque Porto s’offre l’international portugais Ricardo Quaresma. Le club verse 500 000 euros de commission à l’agence DNN, qui en a reversé la moitié à la société d’Alexandre Pinto da Costa. Contacté par l’EIC, le patron de DNN a refusé de nous expliquer pourquoi il a rémunéré le fils du président de Porto.

Alexandre Pinto da Costa a fait plus fort encore : lorsqu’il est en affaires avec Porto sur un transfert, il parvient à se faire payer par l’autre club impliqué. C’est totalement contre-nature, puisque l’acheteur et le vendeur ont des intérêts totalement opposés. Et c’est formellement interdit par la loi portugaise, qui stipule qu’un agent « ne peut agir qu’au nom d’une seule des parties à un contrat ».

Cela n’a pas dissuadé Alexandre. Lorsque Porto s’est offert le joueur Carlos Eduardo en juin 2013, il a touché 100 000 euros du club de son papa, et 68 400 euros du club vendeur, Estoril Praia. Rebelote deux mois plus tard avec le prêt de Rolando à l’Inter de Milan : Energy Soccer encaisse 60 000 euros de Porto le 16 août, et envoie le même jour une facture de 75 000 euros au club italien.

Mais tout cela n’est rien à côté de l’incroyable affaire Casemiro, ce milieu de terrain brésilien prêté par le Real Madrid à Porto pour la saison 2014/2015. Cette opération a permis à Alexandre de toucher deux commissions occultes du club de son papa pour un total de 980 000 euros, au travers de fausses factures et de contrats antidatés.

Le dossier est si sensible qu’il a fallu trouver un intermédiaire pour cacher le paiement : Nelio Lucas, le patron portugais du fonds d’investissement Doyen Sports.

Lucas était l’homme idéal, puisqu’il est à la fois un financier du FC Porto et un ami personnel d’Alexandre Pinto da Costa. Il s’est chargé d’encaisser l’argent du club sur le compte au Liechtenstein de Vela, l’une de ses sociétés-écrans immatriculée à Malte. Il a ensuite redistribué la majeure partie des fonds au fils du président, en prenant bien entendu sa commission au passage.

Tout commence en juillet 2014, lorsque le Real prête Casemiro à Porto pour un an, moyennant 1,2 million d’euros. Manifestement, Alexandre Pinto da Costa a joué un rôle dans ce deal. Mais ça doit rester secret. « Porto nous a demandé de changer la référence de la facture. (…) C’est celle de Casemiro n’est-ce pas ? », écrit un collaborateur de Nelio Lucas dans un mail confidentiel qui figure dans les Football Leaks. « Oui mais on ne peut pas le mentionner. Il faut oublier son nom dans les factures ! », répond le patron de Doyen.

Qu’à cela ne tienne, un contrat est établi par Vela à l’attention du FC Porto, au sujet de prétendus services de « scouting » (détection de jeunes talents). Le club paye 300 000 euros à la société offshore de Nelio Lucas, qui en redistribue 280 000 aux sociétés d’Alexandre Pinto da Costa. Le souci, c’est que le fils du président n’a aucun contrat avec Vela. Heureusement, un collaborateur de Nelio Lucas propose d’en fabriquer un pour justifier le paiement. « J’ai fait simple », écrit-il. En effet : le document indique que les sociétés d’Alexandre ont fourni des « services de consulting en business et en management », sans plus de précision.

Le deuxième épisode, encore plus fou, se joue un an plus tard. Il y avait, dans l’opération Casemiro, une clause pour le moins étrange. À l’issue du prêt, si Porto ne veut plus du joueur, le Real le récupère gratuitement. Porto a aussi une option d’achat pour 13,8 millions d’euros. Si Porto exerce cette option, le Real peut exercer une contre-option, moyennant un paiement de 7,5 millions à Porto. C’est totalement absurde : on voit mal pourquoi un club devrait payer pour un joueur qui lui appartient.

C’est pourtant ce qui est arrivé : Porto a dit vouloir acheter Casemiro, le Real a exercé sa contre-option et a versé 7,5 millions au club portugais. Ce qui est encore plus troublant, c’est que Porto a reversé dans la foulée 1,26 million d’euros à Nelio Lucas et Alexandre Pinto da Costa, sans qu’on comprenne ce qui a pu justifier un tel paiement.

Cette fois encore, pas question pour le club de verser directement l’argent au fils de son président. Porto verse 1,26 million d’euros sur le compte au Liechtenstein de Vela, la société offshore de Nelio Lucas. Dans un mail confidentiel, un de ses collaborateurs écrit que c’est une « commission liée à l’exercice de l’option du Real Madrid » sur Casemiro. Cette fois, il n’y a apparemment même pas de contrat pour habiller le paiement. Les collaborateurs du patron de Doyen ont réclamé plusieurs fois ce document sans l’obtenir, selon des emails internes issus des Football Leaks.

Nelio Lucas conserve 426 000 euros, et reverse 700 000 à Energy Soccer. Le contrat est pour le moins croquignolet. Sur les 700 000 euros, 500 000 sont justifiés par le fait qu’Alexandre Pinto da Costa aura droit à une commission « si le Real Madrid exerce sa contre-option de rachat ». Il était sûr de l’obtenir, puisque cette clause a été rédigée après l’exercice de l’option ! Quant aux 200 000 euros restants, c’est officiellement parce que Nelio Lucas paie le fils du président de Porto pour être l’agent de Casemiro à sa place. Une absurdité totale, les agents ne laissant le soin à personne d’autres qu’eux de veiller sur leurs protégés.

Interrogé par l’EIC, Nelio Lucas n’a pas souhaité nous parler. Il a fait répondre par le porte-parole de Doyen que l’opération avec Energy Soccer était « confidentielle », et que « les deux entreprises respectent l’ensemble des obligations, y compris fiscales, auxquelles elles sont soumises ». Le FC Porto et Alexandre Pinto da Costa n’ont pas donné suite à nos sollicitations.


Pouca vergonha!!!
 

Pietrus

Bancada central
9 Março 2012
1,823
221
Teodoro Fonseca : O banqueiro oculto

Quand on exerce le métier d’agent, l’une des plus belles tirelires est le Zénith Saint-Pétersbourg. Situé dans la ville natale de Vladimir Poutine, le club est couvé par le président russe et financé par le géant des hydrocarbures Gazprom. De quoi financer des commissions démesurées en regard du pedigree des joueurs qui rejoignent le club de première division russe, dont le niveau n’est pas très relevé.

L’agent brésilien Constantin Teodoro Panagopoulos en a bien profité. En août 2012, le Zénith achète au FC Porto l’un de ses poulains, Givanildo Vieira de Sousa, surnommé « Hulk », pour environ 50 millions d’euros. Le contrat d’agent, qui figure dans les Football Leaks, prévoit une gigantesque commission de 13 millions d’euros pour For Gool, la société britannique de Panagopoulos. L’agent a touché 26 % du montant du transfert, alors que la norme dans le milieu est plutôt de 10 %.

Les transactions étranges de Constantin Panagopoulos ne s’arrêtent pas là. Histoire de solidifier sa relation avec Porto, l’agent fait également office de banquier occulte du club, sous couvert d’achat de parts de joueurs.

C’est justement ce qui s’est passé pour Hulk, quelques mois avant son transfert en Russie. En mars 2012, For Gool fournit 4,5 millions à Porto, une partie sous forme de prêt et l’autre en échange de 10 % du joueur. Quatre mois plus tard, lorsque le Zénith achète Hulk pour 50 millions, Panagopoulos aurait donc dû toucher 10 %, soit 5 millions. Mais l’agent y renonce subitement, exigeant uniquement le remboursement du prêt ! Une générosité inexplicable, si ce n’est par le fait que l’agent a agi comme un pur financier, et n’a jamais eu l’intention d’acheter des parts du joueur.

Autre micmac avec l’international mexicain Héctor Miguel Herrera, arrivé à Porto en 2013. Le joueur s’avère très décevant. En février 2015, le club donne un mandat de vente de Herrera pour 30 millions d’euros – un montant absurde, qui n’a aucune chance d’être atteint. En échange, l’agence de Panagopoulos verse 5 millions à Porto, qui devra rembourser 5,25 millions en septembre. C’est exactement ce qu’il est advenu. En clair, il s’agissait d’un prêt avec intérêts dissimulés derrière un faux contrat d’agent.

Ces manœuvres occultes ont éveillé la suspicion de l’UEFA. En 2012, la Fédération européenne de football avait dénoncé For Gool aux autorités anglaises, au sujet du montage financier lié à l’arrivée du Brésilien Walter au FC Porto. Une enquête pour blanchiment a alors été ouverte au Royaume-Uni. On ignore ce qu’elle a donné. Mais For Gool poursuit toujours ses activités.
 

Pietrus

Bancada central
9 Março 2012
1,823
221
Nicky Blair : As manobras fiscais do filho do ex-primeiro ministro Britânico

C’est le premier gros deal d’un agent pas comme les autres. À l’été 2013, Nicholas Blair, dit « Nicky », parvient à vendre au FC Porto pour 8 millions d’euros le footballeur mexicain Hector Herrera, qui évoluait dans un club de Mexico. Une consécration pour le fils de l’ancien premier ministre britannique Tony Blair, alors âgé de 27 ans, qui a d’abord travaillé comme professeur des écoles puis comme avocat, avant d’embrasser la carrière d’agent de joueur.

Mais derrière ce succès, qui a rapporté 300 000 euros de commission à Nicky Blair, se cache une sombre manœuvre. Les documents Football Leaks montrent en effet que Blair a agi à la fois comme agent du joueur et comme agent du club, ce qui est formellement interdit par la loi portugaise, au nom de la lutte contre les conflits d’intérêts.


L’objectif de la combine est avant tout fiscal. Si la commission est versée par le club au joueur, il doit payer des impôts sur cette somme avant de rémunérer son agent, et doit s’acquitter en plus de la TVA. C’est pour cette raison que les clubs s’arrangent pour verser la commission directement à l’agent. Ça coûte moins cher et tout le monde y gagne. Mais c’est illégal au Portugal… sauf si l’agent travaille exclusivement pour le club.

Des emails issus de Football Leaks montrent que Nicky Blair a été payé par Porto alors qu’il représentait le joueur Hector Herrera. En 2013, son club, le CF Pachuca, écrit que le joueur est « légalement représenté » par Magnitude, l’agence londonienne créée par Nicky Blair et Gabriel Moraes, l’un de ses amis rencontré à l’université d’Oxford.

En mai 2013, Moraes écrit à Antero Henrique, directeur du football au FC Porto, au sujet de l’acquisition du joueur : « Vous trouverez ci-joint le contrat de représentation de Hector Herrera. Il est signé par mon associé Nicholas Blair. »

Les négociations progressent rapidement. Le 20 juin, Nicky Blair envoie à Porto son contrat, qui stipule qu’il « représente le joueur ». Le lendemain, l’avocat de Porto renvoie une version amendée du contrat qui dit que Blair représente le club. L’agent lui renvoie une troisième version, où il écrit à nouveau qu’il représente le joueur !

Mais dans le contrat final, il est bien stipulé que Porto verse 300 000 euros de commission (payables en quatre ans) à Nicky Blair, officiellement parce qu’il était l’agent du club. Malgré nos documents, l’intéressé a assuré n’avoir jamais agi pour le compte de Hector Herrera lors de ce transfert et que tout a été déclaré aux autorités compétentes. Le FC Porto s’est refusé à tout commentaire.
 

Komodo

Tribuna Presidencial
12 Dezembro 2012
8,245
2,025
Conquistas
3
38
Vila do Conde
  • Alfredo Quintana
  • Fernando "Bibota" Gomes
  • Pinto da Costa
Parecemos uma ETAR... Tudo o que é esgoto está ligado a nós.

Envolvidos em tudo o que é negócios escuros, com todo o tipo de pessoas sujas, à escala global...
A imagem do clube está a ser associada constantemente a negociatas, falcatruas e corrupção, à escala global...

Quando se transformou o Porto num clube mundial não era para isto.

Saiam rápido!
 

Filipe01

Tribuna Presidencial
26 Março 2012
16,944
12,174
miguel disse:
As próximas eleições têm que ser históricas. No entanto o presidente tem razão quando diz que ninguém aparece.
Não vejo onde está a razão do Presidente.

Quando o Presidente ajudou a criar um forte clima de intimidação junto de quem ousa sequer criticar a sua gestão, não admira que os potenciais candidatos se resguardem.

Um candidatado sério e de qualidade, tem uma vida profissional e familiar estável.

Infelizmente o Presidente está unicamente a fazer um papel para defender o seu lugar.  Porque se o FCP tivesse em primeiro  lugar, PdC deveria ser o primeiro a verificar que a sua gestão está muito longe de estar ao nível do que o FCP necessita.

O clima que esta Direcção criou é um grave problema para o futuro do clube.